L’avenue du Bois fait partie du bassin versant Lafargue-Prévoyance recensé comme un bassin aux forts enjeux de lutte contre les inondations liées aux épisodes pluvieux intenses.
En complément de sous dimensionnements ponctuels, certains secteurs sont, comme l’avenue du Bois, dépourvus de réseau d’eaux pluviales, limitant ainsi les possibilités de gestion du ruissellement.
Cette avenue constituant le point bas du quartier, elle concentre les désordres les plus importants observés dans le quartier.
D’autres désordres ont été relevés : La rue des Fleurs pose également problème : cette rue étant en impasse et en pente, les eaux ruissellent vers le riverain situé au fond de l’impasse.
En outre, un regard mixte situé à l’entrée de la rue risquait d’entrainer des pollutions ponctuelles des eaux pluviales ou une saturation des eaux usées lors de fortes pluies.
Enfin, la rue Jean-Jaurès connait régulièrement des inondations, entre le carrefour et la rue Louise-Michel. Ces débordements proviennent des réseaux d’eaux pluviales situés au carrefour, qui semblent sous-dimensionnés.
Afin de résoudre l’ensemble de ces problématique pour des pluies d’occurrence décennale, plusieurs phases de travaux seront nécessaires.
La phase 1 des travaux consiste à réaliser des aménagements du bassin Ferrer pour optimiser son remplissage (début avril à mi-mai) et à créer deux bassins de stockage des eaux pluviales sur l’avenue Anatole France (mi-mai à mi-juillet), aux intersections avec l’avenue Paul Lafargue et le Boulevard Henri Barbusse, en dalot béton (début juillet à fin octobre).
D’autres désordres ont été relevés : La rue des Fleurs pose également problème : cette rue étant en impasse et en pente, les eaux ruissellent vers le riverain situé au fond de l’impasse.
En outre, un regard mixte situé à l’entrée de la rue risquait d’entrainer des pollutions ponctuelles des eaux pluviales ou une saturation des eaux usées lors de fortes pluies.
Enfin, la rue Jean-Jaurès connait régulièrement des inondations, entre le carrefour et la rue Louise-Michel. Ces débordements proviennent des réseaux d’eaux pluviales situés au carrefour, qui semblent sous-dimensionnés.
Afin de résoudre l’ensemble de ces problématique pour des pluies d’occurrence décennale, plusieurs phases de travaux seront nécessaires.
La phase 1 des travaux consiste à réaliser des aménagements du bassin Ferrer pour optimiser son remplissage (début avril à mi-mai) et à créer deux bassins de stockage des eaux pluviales sur l’avenue Anatole France (mi-mai à mi-juillet), aux intersections avec l’avenue Paul Lafargue et le Boulevard Henri Barbusse, en dalot béton (début juillet à fin octobre).
Coût de l’opération : 1,2 million d’euros.
La seconde phase permettra de créer deux ouvrages de stockage complémentaires.